CETON (Orne)

Ceton

Une plaque de cocher traditionnelle dans cette commune à l’extrême sud de l’Orne. Un virage de la D136, rue de la Libération, intersection avec la rue de l’Église.

– Cliquez sur cette plaque –

Photographies: Laurence DUTERTRE

La route d’Avézé (C8) traverse ici le lieu-dit Chatary. La maison à l’intersection avec le C10 (Le Sablon), supporte deux plaques en angle.

-Cliquez sur chacune des deux plaques-

Photographies: Laurence DUTERTRE

Lieu-dit Le Pâtis (Eure & Loir), Champeaux (Orne), nous sommes à l’intersection entre la D13 et le C9. La frontière entre les deux départements est la ligne centrale de la chaussée, nous sommes côté Orne.

-Cliquez donc sur chacune des deux plaques-

Dans le temps, il y avait ici un bâtiment (maison ? grange ?) sur laquelle la plaque était fixée. Quand le bâtiment a été démoli, on a prévu un nouveau support pour la plaque …. qui est toujours en place.
Nous sommes au lieu-dit la Ganche, à l’intersection de la D637 avec un chemin vicinal.

Jeroen SWEIJEN

A moins qu’elle n’ait été fixée sur un mât.

-Cliquez sur cette plaque-

Et voilà donc ce qui doit être la plaque la plus méridionale de l’Orne. Un cas particulier, même, car monté sur un support ‘de fortune’, tandis que le mât dont provient probablement la plaque est toujours présent, sans plaque.
Tout au sud de la commune de Ceton, à l’intersection de la D42 qui forme ici la limite entre l’Orne et la Sarthe, et la C11, en face du lieu-dit la Grande Borde (qui se trouve sur la commune de Théligny).

Jeroen SWEIJEN

-De gauche à droite: la plaque, la flèche moderne, le mât. Cliquez sur la photo-

Egalement, rue des Bordes, intersection avec la rue Jean Moulin (D136) un poteau bi-plaques:

– Photographies: Régis GARNIER–

Intersection entre la D107 (anciennement Chemin de Grande Communication N°7 du Mêle à La Ferté-Bernard puis du Mêle à Ceton) et la route du Moulin de Neuville (C10), un mât. Sur la plaque de gauche est fléchée la Route Nationale 23 de Paris à Nantes, sur celle de droite le Chemin de Ceton à Avézé, il s’agit aujourd’hui du C8, cette voie ne fut subventionnée qu’à partir de 1879.