Écluses sur la Sarthe

ECLUSES_SARTHE

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Noyen-sur-Sarthe

Voici présentées ici 10 écluses à sas et leurs plaques sur les 16 présentent sur les 90 kilomètres de la Sarthe navigable. La première écluse est l’écluse des Planches au Mans, elle est à deux kilomètres du point de départ qui n’est autre que le Port du Mans construit entre 1830 et 1840. Cette distance par rapport au point de départ a été mesurée et est reprise sur toutes les plaques, partie basse.

Deux plaques qui n’en forment qu’une.

La seconde partie de la plaque à oreilles indique le numéro de l’écluse.

Ces maisons d’écluses furent construites vers 1860, les plaques pouvant dater de la même époque. Elles sont toujours en activité même si le trafic a diminué (il y a 25 ans un éclusier voyait passer de 20 à 25 bateaux / jour aujourd’hui 4 ou 5). En Sarthe il y a 6 éclusiers à temps complet et 7 à temps incomplet. Seule l’écluse de sablé est automatique.

Toutes les photographies de cet article sont de Laurence DUTERTRE ©

Écluse des Planches – Le Mans

48.00053872308474, 0.184709532250522

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Écluse de la Raterie – Heuzé St Georges – Le Mans

47.97919165132796, 0.1600722680019586

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Écluse de Chaoué – Rue Pierre Martin – Le Mans

47.969388487812424, 0.17099379795387762

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Écluse de Roézé

47.88567729571622, 0.07819839411525879

Visuel : Roézé, l’écluse et le pont tournant, carte postale, s. n., 1903 (Archives départementales de la Sarthe, 2 Fi 3160).

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Écluse de Noyen – Noyen-sur-Sarthe

47.85846646313203, -0.09792051441526653

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Écluse d’Hières ou d’Ignières – Avoise

47.830636127437295, -0.17659788864267306

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Écluse de Parcé – Avoise

47.84636348595804, -0.19506241725888668

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Écluse de Juigné

47.858473021267706, -0.28958596824970795

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Écluse de Solesme – Juigné-sur-Sarthe

47.85160117250544, -0.30911763075183546
L’écluse de Somesme fur construite en 1864 par A. Moreau, ingénieur des Ponts-et-Chaussées. Le développement des marbreries à partir de 1836 impose la sécurisation du transport fluvial en réglant les problèmes de dénivellation. L’îlot St Clément est créé artificiellement par le creusement du canal, la seconde marbrerie se développe dès 1860.