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OISE page 7



 

Blacourt

Quand on arrive par la rue de Montreuil  et que l’on bute rue de la Forge / rue de la Haute Rue (D502), on se trouve nez à nez avec cette plaque en zinc peint. Une seule flèche indiquant notamment l’Arrêt de Blacourt. Ce lieu, qui d’ailleurs n’est plus mentionné nulle part, était le passage à niveau, je ne sais pas si le train s’y arrêtait. (voir photo ci-dessous).

Difficile de dater cette plaque, les caractères au pochoir semblent être récents, la flèche par contre le modèle que l’on peut retrouver sur les premières plaques en zinc laminé vers 1870. 

-La plaque à gauche, cliquez dessus-

Photographie de la plaque: Fabien DEMEULES

-Bonjour madame, le train s’arrête-t-il ici ?


 

Blargies

Cette plaque  était sur le Chemin de Grande Communication n°150, une voie allant de Grillon à Aumale. Mais quand la plaque fut posée passait par là un autre chemin, sans doute un Chemin de Moyenne Communication, une fusion ayant eu lieu en 1862 entre ces deux types de voies.  Ainsi se justifierait le rajout de la plaquette. 

La plaque est ancienne, probablement vers 1860, il semblerait qu’elle ait été déplacée. Elle se situe actuellement dans la rue Principale (D316) sur un bâtiment se trouvant à l’intersection avec le C1. Mais nous ne sommes pas dans le hameau de Belleville comme indiqué sur la plaque. En outre compte tenu de la distance en mètres pour aller à Secquenville, elle devait se situer une centaine de mètres après le château d’eau. Il n’en reste pas moins vrai qu’elle fut préservée,  grattée et graissée et elle fait plaisir à voir en cet état.

Une photo par Fabien DEMEULES en novembre 2018

Une photo par Jean-Michel LE VAOU en novembre 2019


 

Fontenay-Torcy

A l’intersection entre le Chemin de Grande Communication N°133 qui allait de Beauvais à Dieppe et un Chemin Vicinal Ordinaire allant comme indiqué sur la plaque de Fontenay à Bazancourt (le N°2), voici un mât bi-plaques. 

Nous sommes aujourd’hui sur la place Jeanne Bulot, carrefour formé par l’intersection des rues de Sully (ou Roger Lesobre) et la rue des Trois Peuples. La Route Départementale N°133, anciennement CGC 133, passe quand à elle à une cinquantaine de mètres, on peut penser qu’il y eut la mise en place d’une déviation. 

Photographie de Jean-Michel LE VAOU (2013)

Photographie de Fabien DEMEULES (2018)


 

Glatigny

Les deux plaques directionnelles subsistant à Glatigny sont sur des Chemins Vicinaux, les N°2 et N°3. Elles sont identiques de par leur graphisme. 

-Rue Binet, le CVO 2 allait de Glatigny à Lanlu-

-Le CVO N°3 part sur Hanvoile, la plaque sur la rue éponyme-

Photographies: Fabien DEMEULES


 

Luchy

Cette plaque se situe  sur la Départementale N°11, à l’époque de cette plaque il s’agissait de Chemin de Grande Communication N°11 allant de Rougemaison à Croissy. On distingue malgré les branchages le fléchage vers Auchy-la-Montagne et Croissy.

Photographie: Fabien DEMEULES

La plaque rechampie est longtemps restée recouverte par la végétation. 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies: Bruno SINET


 

Beaulieu-les-Fontaines

En face de la rue de la Gare (D76), dernière maison de la commune en allant sur Écuvilly, rue de Noyon (D24), cette plaque était sur le Chemin de Grande Communication N° 24. Cette voie de Noyon à Nesle  venait buter ici sur le CGC N°76, lequel allait de Lassigny au Frétoy. 

-Cliquez sur cette plaque pour gros plan-

Photographies: Mathieu BENDER


 

Breteuil

De Rouen à La Capelle de 1824 à 1973, tel était le parcours de la Route Nationale 30. Cette voie passait donc par Breteuil. 

Aujourd’hui nous sommes à l’intersection  entre la rue d’Amiens (D617) et la rue de Écoles -laquelle est aujourd’hui la D28 alors que manifestement il s’agissait de la Nationale 30.

 

Photographie: Fabien DEMEULES


 

Lachapelle-sous-Gerberoy

En un seul mot Lachapelle. Rue de La Motte (D95), il s’agit là d’un mât bi-plaques reconverti en support pour plaques directionnelles modernes. Cette réaffectation des mâts avec cartouches en fonte se retrouve sur le catalogue René Gaillard de 1929. (Un demi-siècle de signalisation routière par Marina Duhamel).

Photographie: Bruno SINET


 

Baron

Le Chemin de Grande Communication N°100 allait donc du Plessis-Belleville à Moru (un hameau de Pontpoint). Cela doit être vrai puisque inscrit en toutes lettres sur la plaque, nous retrouvons cette description sur la nomenclature de 1882 !

Aujourd’hui Route de Beaulieu (D100) cette plaque fut restaurée et réchampie par Pierre Chaix en 2019. Ci-dessous deux vues, la première étant une copie Google map 2014, la seconde une photographie de 2019 après repose de la plaque. 

La teinte utilisée par Pierre Chaix se rapproche -pour le moins- de la nuance préconisée par la circulaire génératrice de 1835:  fond bleu de ciel foncé, les lettres en blanc. Le support est blanc, pourtant la plaque tout à fait visible (et lisible) n’agresse pas le passant comme on peut le voir en divers lieux où sont mises en place des plaques fraîchement réchampies. 

-La vue 2014-

-Une vue 2019, cliquez donc sur cette plaque-

Les photographies actuelles (2019) sont de Pierre CHAIX

Une seconde plaque cette fois sur l’ancien Chemin de Grande Communication N°123 fut également rechampie par Pierre Chaix

-Cliquez sur cette plaque-


 

Rantigny

Cette plaque, si elle se situe bien sur la D137, est à la limite de la commune de Rantigny. En effet cette voie est frontalière entre les communes Rantigny et de Cauffry. Il s’agissait du Chemin de Grande Communication portant le même numéro et sur la plaque comme sur la nomenclature de 1882 il allait de Noailles à Catenoy. 

Cette plaque, si elle existe encore, n’est pas localisée.

Photographie: Rémi GRODZKI


 

Villers-sur-Coudin

Cette plaque se situait sur la Route départementale N°12 allant de Compiègne à Roye (sur-Matz).  Elle fut déclassée, comme moult routes départementales en ce département, en Chemin de Grande Communication, le N°142, même parcours. 

Nous sommes aujourd’hui rue St Jean (D142), l’une des dernières maisons du village en allant vers Marest.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI


 

Gouvieux

La plaque sur le lieu-dit Chaumont est à l’intersection des actuelles rues de Creil (D162), de Chaumont et de Corbier Thiebaut (D162). Elle se situait comme indiqué sur le Chemin Vicinal Ordinaire dit de St Maximin:  en 1861, les routes qui se rejoignaient ici étaient effectivement des Voies Vicinales Ordinaires, et à 2km740 passait déjà le Chemin de grande Communication N°44. Cette année de 1861 est la date d’impression d’une carte routière de ce département, cela pourrait être aussi l’année de fabrication de cette plaque issue de la fonderie Bouilliant. 

Nous sommes à deux pas de l’Aunette chère à Gérard de Nerval.

-Sur cette demeure datée de 1852, la plaque à cliquer. (La rue qui descend s’appelle le Chemin du Trou Patrie)-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI

Toujours quartier de Chaumont, juste en face de la plaque en traversant la rue, une interdiction de mendicité. C’est grâce à l’existence du dépôt de Montreuil que le Préfet de l’Oise a pu décréter  l’interdiction de la mendicité dans le département le 15 février 1846. Ce même décret précisait que ces plaques d’interdiction seraient mises en place à la limite du département, également dans les communes après délibérations du Conseil Municipal (qui avait en outre obligation de porter assistance aux mendians (sic). 

Photographie; Jean-Michel LE VAOU


 

Le Vaumain

Sur la plaque c’est sans élision que Vaumain est inscrit; ce qui peut laisser supposer qu’a l’époque (fin XIXème) on parlait de Vaumain et non pas de Le Vaumain. 

Les deux plaques en angle sur un même bâtiment sont dans un virage à angle droit de la Départementale N°166. Rue de l’Église / rue de la Briqueterie. Anciennement Chemin de Grande Communication N°166, une voie créée semble-t-il après 1882. 

-Cliquez une fois sur les plaques en angle, la mendicité non photographiée-

Photographie des plaque: Rémi GRODZKI

LE VAUMAIN Plaque de mendicité 2023.

Voici, photographiée, la plaque d’interdiction de mendier que l’on voit sur la maison. Suite à la création du dépôt de mendicité de Montreuil-sous-Laon, le préfet de l’Oise l’interdit par l’arrêté du 15 février 1845. 

Photographie: Jean-Michel LE VAOU


 

Monchy-Saint-Éloi

La seule destination fléchée sur cette plaque est la Halte de Laigneville, cette gare ferroviaire ayant été ouverte en 1892, cela nous renseigne sur la date de fabrication de la plaque.

Aujourd’hui place de La République, intersection des rues de Caucriomont (D62) et de La République (D605), à l’époque il s’agissait d’un Chemin Vicinal Ordinaire, sa seule vocation étant de rallier la susdite Halte. 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI


 

Wavignies

La Route Impériale N°16 allait à son origine de Paris (Sarcelles) à Dunkerque. La mention Impériale fut recouverte par une plaquette Nationale à partir de 1870. 

La plaque est à la sortie du bourg, rue Lucien Sueur. Elle est en l’état mais on y distingue néanmoins des traces du bleu, soit d’origine, soit plus certainement du dernier réchampissage. 

-Cliquez donc sur cette plaque à gauche-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI


 

Senlis

Rue du Faubourg St-Martin (D1017), sur la Chapelle St Lazare de l’hôpital, cette plaque en l’état marquait en sortie de bourg la Route Royale ou Impériale N°17. Cette route partait de Paris pour rejoindre Lille et Ostende. En 1870 elle devînt Nationale, ceci expliquant la plaquette. 

On peut voir le bleu sur cette plaquette: elle provient, comme la plaque, de la fonderie Bouilliant, elle fut manifestement livrée peinte. 

-Cliquez sur la plaque-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI


 

Bresles

Une plaque d’environ 1920 qui se situe sur la Nationale 31. En zinc peint, sponsorisée par le Touring Club de France. 

Photographie: Rémi GRODZKI


 

Catenoy

Si aujourd’hui nous sommes sur la Route Départementale N°391, lors de la pose de cette belle plaque Bouilliant, antérieure à 1870, il s’agissait de la Nationale 31. A la sortie de la commune, direction Nointel, quartier de St Antoine. 

La Nationale 31 allait de Rouen à Reims, cette portion fut réparée en 1839. La voie express de Breuil-le-Sec à Catenoy date de 2012. 

Il se pourrait que cette plaque ne soit plus en place aujourd’hui.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI

-Café de la Gaieté en 1950-


 

Compiègne

Sur le parcours initial de la Nationale 31 allant de Rouen à Reims, cette plaque provient de la fonderie Bouilliant. Elle peut dater soit de 1848  et dans ce cas la mention recouverte par la plaquette serait Royale, sinon elle serait d’entre 1852 à 1870 et la mention serait Impériale. La plaque n’est pas localisée. 

Photographie: Rémi GRODZKI

Rue de Senlis, sur la Route Nationale 32 allant à son origine de Paris à St Quentin, cette plaque elle aussi provient de la fonderie Bouilliant. Le Royal-Lieu est un hameau de Compiègne. 

Photographie: Francis CAHUZAC


 

Jaulzy

Nous étions sur le parcours initial de la Nationale 31. Rue de Soissons, cette plaque côtoyait une plaque d’interdiction de mendicité. Malheureusement elle n’est plus en place.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie: Rémi GRODZKI


 

Vineuil-Saint-Firmin

C’est entre 1790 et 1794 que Vineuil et St Firmin fusionnent. Le toponyme Vineuil-St-Firmin date, lui, de 1909. Sur la plaque, le nom de la commune est St-Firmin. 

Les deux plaques se situaient sur le Chemin de Grande Communication N°134, comme indiqué sur les plaques ainsi d’ailleurs que sur la nomenclature 1882, cette route allait de Chantilly à Villers-Cotterêts. Sur l’actuelle D924, anciennement Nationale 324 (de 1933 à 1973). Rue de Chantilly, côté ouest pour la première plaque, la seconde plaque côté est mais non localisée.

Photographie: Rémi GRODZKI

Photographie: Jean-Michel LE VAOU


 

Corbeil-Cerf

Le chemin de Grande Communication N°135 avait vocation à devenir national puisqu’il allait de Beauvais à Pontoise. Et effectivement de 1933 à 1973 cette voie fut reprise intégralement par la Route Nationale N°327. 

Les deux plaques sont situées sur un commerce faisant l’angle entre la rue du Déluge (C2) et la rue de Méru (C2 également). Si nous étions sur le parcours initial de la Nationale 327 aujourd’hui devenue le D927, nous sommes donc aujourd’hui sur le réseau communal. 

La seconde plaque, rue du Déluge, était déjà à l’époque sur un Chemin Vicinal Ordinaire.

-Cliquez sur chacune des plaques-

Photographies: Rémi GRODZKI


 

Auteuil

Nous étions lors de la mise en place de cette plaque et ce jusqu’en 1874, sur la Route Départementale N°5. Cette route allait de Beauvais à Pontoise, cette itinéraire fut repris intégralement par le Chemin de Grande Communication N°135. 

La plaque est aujourd’hui rue de Beauvais (D927) anciennement de 1933 à 1973 Nationale 327. St Quentin-d’Auteuil est un hameau de la commune d’Auteuil.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI


 

Laversines

Actuellement c’est la route Départementale N°513 qui traverse de part en part cette commune. A l’époque de la mise en plaque de ces plaques, il s’agissait peut-être d’une voie de grande communication, rien n’est moins sûr. En effet les trois plaques directionnelles étaient sur des Chemins Vicinaux Ordinaires. Cette commune n’eut de cesse que de demander le classement de ces voies, à sa charge. Cela lui aurait permis de percevoir des subventions départementales pour leur entretien.

En 1912 par exemple, elle demande le classement du Chemin N°1 d’une longueur de 1kms490 et reliant le village à la Route Nationale 31. Préalablement à son classement il faut le mettre en état de viabilité, la commune accepte (coût: 1080 frcs). Ensuite on considère que son entretien reviendrait à 670 frcs répartis entre commune et département. Sa demande est acceptée. 

Ces plaques sont particulières, la classification et N° du chemin (VO) étant en gros caractères, la commune fléchée en plus petit. Sans doute veut-on signifier par là que la charge d’entretien du chemin est entièrement dévolu à la commune, son nom étant d’ailleurs inscrit sur chaque plaque.

-La route principale vire à droite, la plaque indique un chemin vicinal à gauche. Cliquez dessus

Les deux autres plaques à l’intersection des rues de St Germain (D513) et de Fouquerolles (C3). Les plaques étaient à l’époque respectivement sur la VO1 et la VO3. Et donc la Départementale d’aujourd’hui était un Chemin Vicinal Ordinaire hier, d’où la question, y avait-il une voie de communication financée même partiellement par le département dans cette commune ? 

-Cliquez sur chacune des plaques, flèches oranges-

Photographies des plaques: Rémi GRODZKI


 

Courteuil

Rue Eusèbe Fasquel (Voie Vicinale transversale) intersection avec la rue de Senlis (D924) cette plaque était comme aujourd’hui sur un Chemin Vicinal Ordinaire, le N°1.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Rémi GRODZKI


 

Plailly

Rue du Puits Josset (Chemin Vicinal transversal), à l’intersection avec la rue de Paris (D126), voici une plaque qui était comme la précédente à Courteuil sur un Chemin Vicinal Ordinaire. Le fléchage indique la Gare de Survilliers, cette dernière fut créée en 1859.

Photographie: Rémi GRODZKI

-Lors de son décrochage pour rénovation le  1er avril 2022-

Photographie: Fabien DEMEULES

PLAILLY 2023.


 

Beaumont-les-Nonains

Nouvelle commune des Hauts-Talican

La Longue Rue, hameau de Beaumont-les Nonains est traversé par la rue qui va à La Neuville-Garnier, nom éponyme. C’est là que se situe cette plaque d’interdiction de mendicité.

Photographie: Jean-Michel LE VAOU

A 10 mètres de la plaque d’interdiction ci-dessus, en face, voici une plaque directionnelle en l’état. Si aujourd’hui elle est sur la D35, nous étions sur le Chemin de Grande Communication portant le même numéro. Il allait en 1882 de Beauvais à Fresnes-Léguillon. A noter qu’il n’y eut aucune modification apportées aux indications  sur cette plaque, le Chemin N°35 en 1856 existait déjà, son parcours étant décrit comme allant de Vaux à Fresnes-Léguillon. 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Jean-Michel LE VAOU


 

Énencourt-Léage

Rue du Moulin, sur le pont enjambant l’Aunette cette plaque de limitation de masse. C’est en 1892 que le Service Vicinal procéda à une vérification détaillée de tous les ponts métalliques et en bois dans l’Oise. A la suite de quoi ces plaques de limitation furent apposées en 1893.

-Cliquez donc sur cette plaque-

Photographie de la plaque: Jean-Michel LE VAOU


 

Jouy-sous-Thelle

De Méru à Gournay, tel était le parcours du Chemin de Grande Communication n° 129 en 1882. Il passait donc par Jouy-sous-Thelle, commune à l’entrée de laquelle, en venant du Mesnil-Théribus, rue du Stade (D129), nous trouvons cette plaque en l’état. La dénomination du chemin fut recouverte avec une plaquette aux lettres gravées suite au déclassement de cette route en CGC.

Photographie: Jean-Michel LE VAOU


 

Le Mesnil-Théribus

Cette plaque était donc sur le Chemin de Grande Communication N°129 allant de Méru à Gournay. Je pense qu’elle est aujourd’hui sur la D129 mais je ne l’ai pas localisée.

-Je ne suis pas certain que l’article précède le nom de la commune sur cette plaque-

Photographie: Jean-Michel LE VAOU


 

Montherlant

Nous étions sur le Chemin de Grande Communication de Méru à Gournay, le N°129. Type et numéro de voie ont été burinés, non remplacés. La plaque fut sans doute déplacée mais aujourd’hui elle est sur le mur de la propriété du château de Montherlant, rue de Gournay (D129).

-La plaque à gauche, cliquez dessus-

Photographie: Jean-Michel LE VAOU


 

Trie-Château

L’orthographe Trye date de la révolution. C’est en 1835 que Trie prend l’extension Château.

Sur l’ancienne Route Royale 181 allant dès son origine de Pacy-sur-Eure à Breteuil dans l’Oise, et cela jusqu’en 1973 cette plaque, fut posée entre 1846 et 1848. La dénomination royale fut burinée, de même les kilométrages vers La Houssoye et Beauvais. Si la suppression de la mention Royale s’explique puisque dès 1848 suite au changement de régime il s’agissait d’une Route Nationale, le burinage du nombre de kms pour aller à La Houssaye s’explique plus difficilement: si actuellement la distance est de 11kms900 il y en avait 12kms (810?) bien que cette route en ligne droite ne semble pas avoir eu son tracé modifié.

Juste en face une plaque d’interdiction de mendicité, celle-ci fut donc placée à la limite de la commune comme il fut demandé de le faire dans l’arrêté préfectoral du 15 février 1846. Rue Nationale (D981) en sortie de bourg.

-De part et d’autre de la chaussée, cliquez sur chaque plaque-

Photographies: Jean-Michel LE VAOU


 

Villers-sur-Trie

Grande Rue, sortie du bourg, voici une plaque d’interdiction de mendicité datant probablement de 1846 / 1847.

Photographie: Jean-Michel LE VAOU


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