Restauration de plaques

La restauration des plaques de cocher du XIXème et début du XXème siècle doit être encouragée. Le petit patrimoine, routier ou plus généralement architectural, est le témoignage d’une civilisation. Il est évolutif au fil des découvertes, du développement du réseau routier et ferroviaire et du niveau de vie des habitants,  mais aussi des caractéristiques de chaque terroir. La plaque directionnelle est un outil de communication, le premier jalon d’une ouverture sur le monde… Puits, chapelles, moulins, croix, panneaux indicateurs… sont les marqueurs que chaque génération à voulu mettre en place; ils en avaient besoin, à charge pour nous aujourd’hui, de préserver ce qui peut l’être.  Nul besoin d’être classé  « monument historique » pour reconnaître la valeur de telle ou telle construction ou bien mobilier. 

 

Sur cette page il m’est apparu nécessaire de mettre en valeur ces petites actions de sauvegarde de notre petit patrimoine, pour ce qui nous concerne, les plaques indicatrices en fonte. La sauvegarde de ces plaques, comme d’ailleurs des panneaux Michelin une génération plus tard, est l’affaire de tous. Nul besoin d’avoir fait une école d’architecture pour entreprendre un chantier de préservation d’une plaque. Nul besoin d’être un expert en sauvegarde de chef d’oeuvre en péril pour vous lancer… 

Écoutons ce qu’en dit Charles Henri Bouilliant lui-même, l’inventeur de la plaque avec lettres en relief:

Outre l’avantage d’être plus lisibles, ces lettres peuvent être peintes de nouveau par la main la moins habile, celle d’un cantonnier par exemple, qui n’a qu’à suivre les contours du relief. 

Alors pourquoi pas vous  ?

Les initiatives des communes, des particuliers aussi, trouveront ici toute leur place.



Mandevillars (70): 3 retraités au chevet d’un mât La Romaine

Article du 13 novembre 2019

 

St Restitut en Drôme: la plaque rechampie et remise en place

Article décembre 2018

Saint-Restitut est une commune drômoise à la limite du département du Vaucluse. Comme toutes les communes de la Drôme, elle a été équipée d’une plaque de distance légale entre 1861 et 1863. En Drôme il y en eut 369. 

Beaucoup de communes les ont conservées (…) lire la suite…


 

Une restauration en Saône-et-Loire: St Aubin-du-Charollais

Article du 3 octobre 2018

La plaque se situait sur le Chemin de Grande Communication N° 25 en Saône-et-Loire. Ce chemin allait de Luzy dans la Nièvre à Aigueperse dans le Rhône. Il traversait donc le département d’ouest en est.  (…) Lire la suite…


 

Villette d’Anthon en Isère: une plaque sauvée

Article du 27 septembre 2018

Parfois les bâtiments communaux recèlent quelques surprises à caractère patrimonial. Ce fut le cas à Villette d’Anthon, commune du Nord Isère, où, suite à une démolition, une plaque de cocher réapparut après quelques décennies. 

Difficile de dire quand elle fut retirée de la voie publique (…) lire la suite…



 

Brionne: une première plaque rechampie par Steven

Article du 5 avril 2018

Comme je l’avais laissé entendre la ville de Brionne prévoyait de confier le rechampissage de ses plaques directionnelles à Steven Soulard (voir article ci-dessous). C’est chose faite avec une première plaque, ce qui a donné lieu à un article dans le bulletin municipal. Le voici, il en appellera d’autres:

Merci à Pascal Loridan pour la communication de cet article.



 

La valeur n’attend pas le nombre des annnées

Article du 28 janvier 2018

Je suis Steven Soulard, jeune passionné par l’histoire du XVIIIe à nos jours.

Telle est la phrase qui vous accueille sur sa page facebook… Né à l’aube du XXIème siècle, en 2000, étudiant et passionné d’histoire, notamment de l’histoire du XIXème siècle et du patrimoine routier, il a décidé de passer de la culture livresque à celle de terrain; et la restauration des plaques -ce que nous appelons le rechampissage- lui a permis de concrétiser ses aspirations.

Mais les mairies regardant à deux fois… (lire la suite)



 

Deux restaurations dans les Deux-Sèvres

Article du 28 janvier 2018

Fondateur du Groupe LIBNER, une carosserie de dimension internationale dont le siège est à St Maixent l’Ecole, c’est Joseph LIBNER en personne qui a tenu à participer à la préservation de ce petit patrimoine routier.

Par le biais d’une de ses filiales, la Société LIBSPAY de Auge (79), ces deux plaques directionnelles en fonte vont être rechampies gracieusement.

La première à La Mothe-Saint-Héray… (lire la suite)



 

Philippe Bisson restaure la plaque d’Ibouvillers

Article du 10 octobre 2017

Voici la plaque sur le territoire d’Ibouvillers, initialement sur une route départementale (lire la suite)



 

Château-l’Hermitage, une restauration de M. Papin

Article du 10 octobre 2017

Sur l’une des entrées du Prieuré Conventuel de Château-l’Hermitage, dans la Sarthe, cette plaque de distances légales avec, comme toutes celles de ce département, l’interdiction  de mendicité. 

Ces plaques ont été apposées… (lire la suite)


 


 

A Montherlant dans l’Oise deux plaques rechampies.

Article du 8 septembre 2017

Montherlant, commune de l’Oise aujourd’hui déléguée de la commune de Saint-Crépin-Ibouvillers, Philippe Bisson a rechampi deux plaques: l’une directionnelle, l’autre d’interdiction de mendicité.

La plaque directionnelle était à son origine… (lire la suite)



 
Les restaurations sarthoises de monsieur PAPIN:

Article du 20 juillet 2017

Monsieur PAPIN, sans trop de bruit, continue son oeuvre de rechampissage / restauration dans son département de la Sarthe. Il peaufine ses interventions, notamment sur les poteaux pour lesquels son travail se déroule sur place. Bien difficile de démonter un poteau quand celui-ci n’a fait l’objet d’aucune intervention depuis un siècle et demi.

Voici deux de ses réalisations… (lire la suite)



 

Quatre plaques restaurées et rechampies en Haute-Saône à Fleurey-lès-Lavocourt

Article du 18 avril 2017

Les quatre plaques directionnelles de la commune de Fleurey-lès-Lavocourt en Haute-Saône furent fabriquées par la fonderie BLEY au XIXème siècle. Depuis cette époque personne n’y avait touché, elles remplissaient néanmoins leur rôle directionnel, mais de moins en moins lisibles et pour l’une d’entre elle quelque peu émiettée.

Les années passant n’arrangèrent rien et quand Frédéric CHAUVET les photographia il y a une dizaine d’années, bien qu’encore intactes et entières, on pouvait penser qu’elles arrivaient au terme de leur mission. Et effectivement en 2016, quand Léonard LOONEN décida de leur redonner un second souffle l’une d’entre elles était cassée….la suite


Sarthe, la restauration des poteaux continue…

Article du 16 novembre 2016

M. Papin persévère, il continue patiemment sa restauration des poteaux. Il a fait l’objet d’un article dans le Petit Journal (pas celui de C+ !) au Grand Lucé. Le voici:

le-petit-journal-le-grand-luce-octobre-2016

En projet; deux plaques sur mâts, deux sur façades. Bravo à lui !

En Sarthe, M. PAPIN a restauré un poteau bi-plaques et une plaque:

Article du 13 avril 2016

– Cliquez sur cette photo –


Une restauration en Haute-Marne

Article du 13 avril 2016



Réparation et restauration d’une plaque en Meuse: par Denis CLAUDEL 

Article du 6 février 2016

– Cliquez sur la plaque pour voir l’article –


A Arcens en Ardèche: l’association Arcade restaure deux plaques de cocher: 

Voici les deux articles dans la presse locale consacrés à cette restauration:

Cliquez sur cette photo pour accéder aux plaques sur le département –

Le lien vers l’Association ARCADE: 


Le Maine Libre sous la plume de Philippe Lavergne

édite un nouvel article concernant la restauration des plaques de cocher. Il déplore le peu d’engouement des communes de la Sarthe , contrairement au département voisin du Loiret et cela malgré l’appel de Jean-Michel Ansel du 27 août dernier. (Voir article).

Lisez cet article en cliquant sur l’image ci-dessous:


 Saint-Frajou: retour de la plaque 50 ans aprés.

En Haute-Garonne à Saint-Frajou, une plaque de cocher disparue depuis une demi siècle a retrouvé son emplacement d’origine. Voici son histoire racontée dans le journal La Dépêche le 28 septembre 2015.


Jeudi 27 août 2015: le journal LE MAINE LIBRE – Edition Haute Sarthe – publie un article sur une initiative qu’il convient ici de souligner: 

Jean-Michel ANCEL à restauré deux mâts bi-plaques non loin du lieu-dit LE GUE-LIAN sur le territoire de St Germain-sur-Sarthe. Il lance un appel aux autorités locales afin que la restauration de ce petit patrimoine routier soit étendue sur l’ensemble du département de la Sarthe. L’article se termine par cette interrogation cruciale: à qui revient la conservation de ce petit patrimoine: communes, intercommunalités, départements ou associations ? 

Puisse-t-il être entendu par l’un ou l’autre de ces intervenants potentiels !

Cliquez sur cette photo  pour voir cet article

 


 L’article de l’Orne HEBDO du 28 juillet 2015: Secrets de vestiges, à la découverte des plaques de cocher.


Pierre CHAIX: il restaure les plaques depuis une dizaine d’années

Président du Club Auto Rétro Passion de Nanteuil-le-Haudouin, domicilié à Chévreville dans l’Oise, il fut l’un des premiers contributeurs de ce site. 

Le 19 juillet 2015 un article du Parisien section Oise rend hommage à sa passion qui ne concerne pas uniquement les plaques de cocher mais l’ensemble du petit patrimoine routier. Le voici:

Les six plaques de cocher restaurées par ses soins sont toutes sur son département, « Ce n’est pas énorme mais je compte bien continuer en améliorant la qualité du travail » dit-il. Les voici, Varinfray exceptée elles sont toutes sur ce site:

Chévreville

Ermenonville

Betz

Nanteuil-le-Haudouin

Varinfray

Félicitations !



Queudes, une belle restauration:

Article du 3 mai 2015

Petit village de la Marne, entre Sézanne et Anglure, les propriétaires de la dernière maison du village avaient une plaque de cocher que voici:

 

Mais c’était avant…. Cette maison était au XIX et début du XXème siècle un commerce.

Aujourd’hui, voici la plaque restaurée, très belle initiative :

 



Restauration à Villainville en Seine-Maritime

Article du 5 avril 2014

 

Daniel Duchesne m’a communiqué cette copie extraite d’un article du journal local. La commune de Villainville, non loin d’Etretat a procédé à la restauration de cette plaque de cocher comme indiqué dans cet article, mais aussi sur les sites dont je joins le lien.

Villainville (3)

Deux photos, l’une de la plaque de cocher en cours de restauration, recouverte d’une couche de protection, la seconde une fois restaurée. Je n’ai pas de photo avant la restauration.

Villainville (2)

Villainville (4)

Malheureusement cette plaque semble cassée en son milieu, peut-être aucours des opérations de restauration. Quoique qu’il en soit le résultat est remarquable. 

 

Voici les deux liens reprenant les indications de l’article du journal:

Site de la ville de Villainville

Site sur la côte d’Albâtre


Niort dans les Deux-Sèvres

Article du 6 avril 2014

 

André Bianco m’a envoyé deux photographies de plaques de cochers à Niort; l’une avant restauration, l’autre après. Vous remarquerez que la plaque de rue a été également restaurée.

79-NIORT-1486.jpgBelles plaques… mais c’était avant…

79 Niort Plaque routière XIX restaurée 4751et voilà le travail…


Restauration à Saint-Croix-en-Bresse en 2005

Article du 22 avril 2014

En 2005, Adeline CULAS, présidente de l’Association d’Artagnan à Sainte-Croix, découvre dans le grenier de la Mairie deux plaques de cocher. Une recherche permet de localiser l’emplacement originel de ces plaques. Elles étaient en effet fixées sur la façade d’un café, au centre bourg, dans la rue centrale. Aujourd’hui, le café Jaillet n’existe plus, il a été détruit dans les années 70-80.

L’association décide donc de restaurer ces deux plaques de cocher, en une couleur originale, lisible et s’intégrant parfaitement dans le décor. 

Ci-dessous, deux cartes postales sur lesquelles apparaissent les deux plaques:

 

La-Rue-Centrale--ob-1908-.jpg– En 1908, sur le pignon d’angle du café Jaillet apparaissent les deux plaques –

le-Bourg--ob-1956-.jpg– En 1956, aprés quelques travaux d’aménagement, les deux plaques ont retrouvé leur place –

A l’occasion des 10 ans de l’Association d’Artagnan, en 2005, les deux plaques retrouvent leur emplacement d’origine. Ci-dessous un article du journal l’Indépendant relatant ce repositionnement.

10_29.jpg– Article du 29 octobre 2005 –

Ste Croix deux plaques– Les deux plaques aujourd’hui restaurées –

Je remercie Adeline CULAS, Présidente de l’Association d’Artagnan, qui, suite à l’article sur ce site sur les plaques de Sainte-Croix, m’a envoyé cette documentation relative à cette restauration. Un magnifique travail de sauvegarde du petit patrimoine.


PAMPROUX

A Pamproux, hameau de Lavilledieu-du-Perron, voici une plaque avant sa rénovation puis aprés. La dernière photo étant de 2014.

– Merci à Stan Bianco pour ces photos dans le temps –


Rénovation à La Seyne-sur-Mer en 2013

Cette plaque de cocher du XIXème siècle a donc été restaurée au XXIème. 

C’est à l’initiative de Jean-Claude Autran et de Michel Harvard, passionnés par l’histoire de leur commune, que le projet de rénovation a été projeté. L’histoire remonte à 2008 et sera concrétisée en 2013. Elle a donné lieu à un long échange épistolaire pour enfin aboutir par une inauguration en présence du Maire de la ville, Marc Vuillemot. 

En outre, un texte explicatif a été installé prés de la plaque dont voici les deux versions (je ne sais laquelle a été choisie):

    La plaque ci-dessus est l’une des plus anciennes de notre ville.
    Il ne s’agit pas d’une plaque de rue ordinaire : elle appartient au type des « plaques de cochers », plaques directionnelles en fonte, placées à environ 3 mètres du sol, pour être facilement visibles et lues par les cochers. Envisagées dès 1835 par les départements pour signaler les principales routes, villages ou hameaux, ces plaques ne seront installées qu’à partir de 1865.
    Cette plaque-ci, apparemment la seule à avoir été conservée à La Seyne et dans ses environs, indique, depuis la place de l’église, la direction et la distance précise de deux sites importants et riches d’histoire de notre commune : Les Moulières, avec leurs lavoirs et leurs moulins, et Le Mai, cœur de la forêt de Janas.
    Pour y parvenir, on suivait autrefois l’actuel chemin de La Seyne à Bastian (VC n° 2) jusqu’au carrefour de Gavet, puis le chemin de La Seyne au Moulières (actuels chemins de Mauvéou et de la Ferme). On accédait alors aux lavoirs par le chemin du vallon des Moulières, le long du ruisseau de l’Oïde (4,560 km). De là, on pouvait poursuive jusqu’au Mai, à 6,950 km.
(932 caractères)
    La plaque ci-dessus n’est pas une plaque de rue ordinaire : elle appartient au type des « plaques de cochers », plaques directionnelles en fonte, placées à environ 3 mètres du sol, pour être facilement visibles et lues par les cochers. Envisagées dès 1835 par les départements pour signaler les principales routes, villages ou hameaux, ces plaques ne seront installées qu’à partir de 1865.
    Cette plaque-ci, l’une des plus anciennes de la ville, est apparemment la seule à avoir été conservée à La Seyne et dans ses environs. Elle indique, depuis la place de l’église, la direction et la distance précise de deux sites importants et riches d’histoire de notre commune : Les Moulières, avec leurs lavoirs et leurs moulins, à 4,560 km, et Le Mai, cœur de la forêt de Janas, à 6,950 km.
(648 caractères)

Pour les puristes, la mention stipulant que les plaques ne commencèrent à être installées qu’en 1865 est erronée (confusion a été faite entre l’implantation des plaques de cocher directionnelles et les plaques dites de situation qui elles émanent d’une circulaire datant de 1859 du Ministère de l’intérieur).

 Ci-dessous la photographie de la plaque en 2008:

Après sablage, voici les différentes étapes et photos de sa rénovation:

– la plaque nettoyée, métal à nu
– une couche de 8016 au verso
– deux vues du recto – mais il est difficile de se faire une idée du rendu, car selon les reflets, l’exposition, le flash, etc. les nuances ressortent de façon assez différente.
 

Et voici la plaque terminée, fond en RAL 8016 , lettres en RAL 9001.


Chênehutte-Trèves-Cunault

 Un flash-back sur la restauration de la plaque de cocher de cette commune du Maine-et-Loire en Anjou. La commune est issue de la fusion des communes de Chênehutte-les-Tuffeaux et Trêves-Cunault. C’était en 1973.

La plaque, bien antérieure, était située sur la commune de Chênehutte-les Tuffeaux.


 Une belle restauration à St-Germain-Laxis

Il ne subsiste qu’une plaque de cocher à St-Germain-Laxis, commune d’environ 700 habitants en Seine-et-Marne. Une belle initiative  de la municipalité qui a décidé de restaurer cette unique plaque qui se situait sur le Chemin de Grande Communication N°126, aujourd’hui la Départemantale 126.

C’est à l’employé municipal que fut confiée cette délicate mission, Fabrice Ferro, et l’on peut dire que pour un coup d’essai ce fut un coup de maître.

– Voici donc la plaque telle qu’elle se présentait…. avant –

Et voici quelques photos prises en cours de rénovation:

– La plaque terminée, cliquez dessus pour grand format –

Merci à Thierry RAFANEL, Conseiller Municipal à St Germain-Laxis pour ces informations.


5 Commentaires

  • Répondre PAPIN jACQUES 12 novembre 2016 at 18 h 31 min

    Bonjour

    A signaler sur le dernier bulletin municipal du GRAND-LUCE-72- la restauration d’une plaque .

    Je cherche le moyen de démonter les plaques sur poteau pour faciliter leur réfection

    • Répondre Patrick Rollet 13 novembre 2016 at 11 h 50 min

      Merci M. PAPIN pour cette infirmation. J’ai récupéré le bulletin municipal du Grand-Luce.
      Pour le démontage des poteaux, j’ai un extrait du catalogue LEROY de 1869 à vous communiquer ainsi qu’un schéma qui pourrait correspondre aux poteaux mis en place en Sarthe. Je vous les communique par mail.
      Si vous avez pris une photo du poteau que vous avez restauré je suis preneur.
      Bien cordialement.

  • Répondre Pinuche 24 mars 2020 at 12 h 57 min

    Grande plaque Michelin d’entrée d’agglomération en céramique émaillée scellée sur un mur de propriété privée.
    Une commune peut-elle la rénover et donc intervenir sur le mur sans l’autorisation du propriétaire ?
    En cas de refus d’autorisation, la commune peut-elle la faire retirer contre l’avis du propriétaire ?
    Merci

  • Répondre Patrick ROLLET 24 mars 2020 at 13 h 05 min

    Bonjour, pour les Michelin je ne sais pas. Pour les plaques de cocher non puisqu’elles appartiennent aux propriétaires des murs supports. Tombées dans le domaine publique.

  • Répondre Pascal BLAISE 9 juillet 2021 at 19 h 52 min

    j’ai restauré une plaque ,et je suis à la recherche de pattes de fixation pour la remettre en place (dans les Vosges)
    Merci

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