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CORREZE

Correze_900.jpg


Dernières modifications 24 décembre 2024


Une nouvelle classification des routes, Chemins de Grande Communication et Chemins d’intérêt Commun fut mise en place en 1879 dans le département.
CHEMINS DE GRANDE COMMUNICATION
CHEMINS d’INTÉRÊT COMMUN


Masseret

Belle plaque de cocher restaurée à Masseret. A noter que, compte tenu de la proximité de la Haute-Vienne, la distance vers ce département limitrophe y est inscrite.

Merci à LePat19, via Gilles Deligny du Club ScooterGT, pour cette contribution.

19 MASSERET 75 route de Limoges


Collonges

Belle plaque rechampie, la classification de la voie et son numéro sont peints. Sur l’actuelle D38, à hauteur du lieu-dit La Sauzele. La Route Départementale N°4 allait d’Aurillac à Angoulème sur une longueur de 65km674 (en 1883). Le déclassement des routes départementales fit basculer cette voie dans le réseau des Chemins Vicinaux, elle devînt ici le Chemin de Grande Communication N°38 (1887). 

COLLONGES

Collonges 2024.

Il est toujours sympa d’avoir le bâti support surtout quand il s’agit d’une maison d’époque et traditionnelle.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies: Sylvain CHAPLAIN


Laguenne

Sur la Nationale 120, aujourd’hui CD 1120, une belle plaque de cocher à Laguenne. Remarquez l’empennage des flèches directionnelles ouvragé.

19 LAGUENNE 46 rue du Puy du Jour CD 1120

Merci à LEPAT19, du Club Scooter GT pour cette belle contribution.

Laguenne 2024.

Retour à Laguenne en 2024. La plaque est toujours là, elle se situe précisément en sortie de bourg direction Argentat, avenue du Point du Jour. Notons que le tracé de cette Nationale dite de Rodez à Limoges par Aurillac ne passait pas initialement par Laguenne mais empruntait le tracé actuel de la D940 par Ste Fortunade. C’est en 1841 que le Conseil Général envisagea cette rectification par la vallée de Laguenne. 

Ci-dessous une carte postale sur laquelle on distingue nettement une plaque directionnelle. Il peut s’agir effectivement de cette plaque mais il était courant que l’implantation des indicateurs sur les Nationales desservant les communes se fassent au début et en sortie de bourg, auquel cas il s’agirait d’une autre plaque. 

-Une plaque sur le bâti de la devanture Gaston Coiffure-

Photographie: Christophe BOUSSIGNAC


Brive-la-Gaillarde

 Ce n’est qu’en 1919 que l’extension la-Gaillarde est ajoutée à Brive. Nous sommes sur l’ex Route Impériale 20.

Avenue Edouard Henriot, cette plaque directionnelle n’a pas été modifiée depuis sa mise en place. La mention Rte Ile (Route Impériale) est toujours visible et non recouverte.

– Cliquez sur cette plaque –

Photographies: Gilles DELIGNY


 Benayes

Quand un Chemin de Petite Communication rencontre un Chemin de Grande Communication, que se passe-t-il ? Deux plaques indicatrices bien sûr:

– Cliquez sur chacune des plaques –

Photographies: Gilles DELIGNY


Donzenac

 Retour sur la Route Impériale N°20, cette fois à Donzenac, rue de Paris.

– Cliquez sur cette plaque Impériale –

Photographies: Gilles DELIGNY


Clergoux

Sur une l’ancienne Route Départementale N°9, mention burinée à partir de 1887 (année du déclassement de ce type de route en Corrèze), cette plaque qui semble bien inaltérable. A noter qu’en 1880 il y avait deux passages difficiles, l’un dans la traversée de  Clergoux, l’autre de Marcillac. Routes de Diligences (D978), aprés l’église vers Marcillac.  

– La plaque à droite, cliquez dessus

Photographies: Jean-François LOBREAU

CLERGOUX 2024.

Cette plaque fut rechampie en 2020. 

-Cliquez sur la plaque bien visible à gauche-

Photographies: Christophe BOUSSIGNAC


Beaulieu-sur-Dordogne

 Sur le Chemin de Grande Communication N°12, cette plaque directionnelle en l’état. Elle se situe place Marbot sur la D840.

Cliquez sur la plaque

Photographies: Jean-François LOBREAU


Lagraulière

 Au croisement de la D34 (à l’époque Chemin de Grande Communication N°34) et de la D167, cette plaque en zinc laminé issu du graveur Girard & Col à Clermont-Ferrand. 

Les deux brevets concernant ce type de plaques gravées en creux datent de 1866 et 1870.

Cliquez sur cette plaque

Photographies: Jean-François LOBREAU


Larche

 Le Chemin d’Intérêt Commun N° 29 allait de Larche à Montplaisir. La commune de Lissac fut ouverte à ce chemin en 1874. Nous sommes sur la D158 au centre ville de Larche.

– Cliquez sur cette plaque au-dessus du poteau blanc –

Photographies: Jean-François LOBREAU

La Nationale 89 dite de Lyon à Bordeaux traversait effectivement la commune de Larche. Depuis la mise en place de la déviation en 2008 l’ancienne route est numérotée D1089E. mais la plaque, localement Grand Rue Alexis Jaubert, est là pour nous rappeler le caractère Impérial de cette route. En effet nous lisons toujours Ile pour Impériale. 

-La plaque à droite. En cliquant dessus vous la verrez occultée partiellement par le volet ouvert-

Photographie de la plaque: Éric HENRY

Photographie 2024: Christophe BOUSSIGNAC


Lubersac

Voici une plaque en l’état. Les mentions burinées étaient sans doute Route Départementale N°3, en 1887 elle fut déclassée (comme toutes les Départementales de Corrèze). 

Nous sommes aujourd’hui dans l’Avenue du Château, D901.

– Cliquez sur cette plaque –

Photographies: Jean-François LOBREAU


Reygade

 Hameau de Lavialle, commune de Reygade, sur l’ancienne Route Départementale N°7 -aujourd’hui D 41 – allant de St Denis à Aurillac, cette plaque burinée après 1887.

– Cliquez sur cette plaque –

Photographies: Jean-François LOBREAU



 

Sainte-Féréole

Cette plaque supporte tant bien que mal le sort qui lui a été jeté…. Pourtant tout avait bien commencé quand en 1872 la Société Leroy et Heurtebise faisait livrer en gare de Brive cette plaque au prix rendu de 12frcs. Aujourd’hui, au croisement de la D25 et de la D25E, elle attend patiemment une revitalisation.

– Cliquez donc sur cette plaque –

Photographies: Jean-François LOBREAU

Ste FÉRÉOLE 2024.

Eh bien voilà, en 2024 la plaque a été rechampie. Elle indique toujours qu’elle était située sur le Chemin de Grande Communication N°25 partant d’Allasssac pour aboutir sur la Nationale 89. 

Photographie: Christophe BOUSSIGNAC


Saint-Robert

 A Saint-Robert, les plaques de cocher, même en l’état, ça va… Celle-ci se situait sur le CGC N°5, aujourd’hui la D5. Cette commune est limitrophe de la Dordogne, la plaque côté est du bourg n’en est distante que de 2km200. 

Cliquez sur la plaque

Photographies: Jean-François LOBREAU



 
Nespouls

Nous voici sur la Route Impériale N°20, cette route dite de l’Espagne. Hameau de Reyjade, commune de Nespouls, une plaque en l’état. 

Photographie: Gilles DELIGNY



 
Goulles

Teulet (ou Le Teulet) est un écart de la commune de Goulles. Cette plaque se situait sur la Route Impériale N°120 allant de Rodez à Limoges par Aurillac à son origine. Elle date d’avant 1870, se situe aujourd’hui sur la D1120. En l’état. Nous sommes à la limite du Cantal, Monvert à 2k7 est dans le Cantal.

-La Chapelle St Pierre du Teulet, agrandie et restaurée en 1857, cliquez sur cette plaque

Photographie de la plaque: Jean-Pierre LEPORT

GOULLES 2023 Plaque restaurée.

Cette plaque a fait l’objet d’une restauration et a été reposée à son endroit initial. L’article sur le journal La Montagne du 9 octobre 2023    ici

Photographie 2023 : ©Éric LASNE



 
Aix

 
Nous sommes sur Chalons, un hameau de la commune d’Aix, également appelé Chalons-d’Aix. Nous étions sur la Route Impériale N° 89 allant de Bordeaux à Lyon. La mention IMP pour Impériale a été burinée, non remplacée.

Historique de l’école

La plaque se situe sur l’ancienne école de Châlons (telle est la mention portée sur sa façade). L’école mixte de Châlons date de 1876, l’état a versé pour son acquisition en 1880 une subvention de 5500 frcs (sur 6100 demandés), la transaction avec l’ancienne propriétaire du bâtiment -Mme TINLOT- s’est faite sans problème pour la modique somme de 4500 frcs. Auparavant, de 1874 à 1876, il s’agissait d’une école libre.
La plaque est antérieure à l’école. La première institutrice de cette maison d’école laïque fut Mlle A.V BESSE, elle était également institutrice de 1874 à 1876 alors que l’école était libre.

-Vous pouvez cliquer sur cette plaque-

 

C’était l’époque ou on pouvait organiser des rondes sur les routes nationales…

…celle ou l’on tient la main de sa petite sœur « arrête de bouger! »



 
Condat-sur-Ganaveix

 Une plaque d’arrêt de bus, émaillée,  sponsorisée par Dunlop, second quart du XXème siècle. Lieu-dit Puy-Roger.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies: Jean-François LOBREAU

Une plaque du même acabit au centre du village. 

– La plaque est dans l’axe du Monument entre les deux fenêtres-

Photographie de la plaque: Jean-Michel ANDRY



 
Eyburie

 Une autre plaque également de Dunlop, en meilleur état. (Fabricant: Neuhaus ou Japy)

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies: Jean-François LOBREAU



 
Camps-Saint-Mathurin-Léobazel

En 1846 Léobazel devient St Mathurin-Léobazel. Plus de changement jusqu’en 1973, cette année là il y a fusion avec Camps.

La plaque se situe sur le village de Lapeyre, anciennement commune de Camps avant la fusion. La Route Départementale N°7 sur laquelle elle se situait allait de St Denis à Aurillac. Le déclassement des routes départementales ayant eu lieu en 1887 dans ce département, cette inscription fut effacée. 

-Sur cette maison de pierres, la plaque en haut à gauche-

Photographies: Jean-François LOBREAU



 
Uzerche

Ce ne sont pas des plaques directionnelles de routes mais des plaques à vocation touristique. Elles sont ainsi sauvegardées photographiquement.

Photographies: Jean-François LOBREAU



 
Saint-Bazile-de-Meyssac

C’est en 1872 que cette plaque fut posée, la commande ayant été retardée compte tenu des événements de 1870. Le Chemin de Grande Communication N°10 allait de Montagnac à St Michel dans le Lot. Aujourd’hui sur le lieu-dit Lasarre (D10) intersection avec la route de La Brunie.

-Cliquez sur la plaque en face de vous-

Photographie: Jean-Michel ANDRY

St-Bazile-de-Meyssac 2024.

Cette plaque a été rechampie mais sa couleur particulière préservée. 

-Cliquez sur la plaque-

Photographies: Christophe BOUSSIGNAC



 
Peyrelevade

Grande Rue, nouvellement rue du Limousin (D21) cette plaque initialement sur le Chemin de Grande Communication N°21. Ce dernier était un chemin intra départemental puisqu’il partait de Bourganeuf (Creuse) pour rejoindre  Bort en 1847. Cette année la il fut envisagé de le faire passer par Eygurande et Peyrelevade. Cela a dû être suivi d’effet puisque la nomenclature de 1879 décrit ce chemin comme allant de Bourganeuf à la Nationale 89

La plaque provient de la fonderie d’Auxerre Leroy et Heurtebise, un contrat fut passé en 1872 avec le département (ce ne fut sans doute pas le seul). La ligne N°31 n’est autre que le Chemin de grande Communication N°31, ce réseau était appelé aussi réseau des Grandes Lignes. Quand à la Route Départementale N°2 elle allait de Tulle à Aubusson.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie: Yvan LE CLEC’H



 
Chamberet

La borne-fontaine de Chamberet fut implantée en 1836. c’est d’ailleurs cette année la que fut arrêté le classement général des voies de Grande Communication en Corrèze. Le N° 3 allait de d’Objat à Eymoutiers en passant par Voutejac, Vigeois, Uzerche et Chamberet. Cette voie de 14 lieues dont 4 à l’extérieur du département avait pour finalité d’établir une communication pour l’échange des vins et des céréales entre la partie nord de l’arrondissement de Brive et les parties est du département de la Haute-Vienne et l’ouest de la Creuse. En outre les cantons d’Uzerche et de Traignac se serviront de cette route pour leur approvisionnement en vin sur l’arrondissement de Brive. Telles étaient les motivations qui ont prévalues lors de sa création. On y voit bien l’importance de la production vinicole de département à l’époque. 

-Borne, fontaine, abreuvoir, au fil des années son utilité à évolué-

Photographies contemporaines: Yvan LE CLEC’H



 
Argentat-sur-Dordogne

Un panneau sponsorisé par le Touring Club de France sur le lieu-dit Rivière (D131E3). 

-Cliquez sur ce panneau. Derrière, enfouie dans le sol, une cabane de cantonnier-

Photographie: Jean-Michel ANDRY

Sur le monument commémoratif au port d’Argentat sur Dordogne, une belle plaque avec le monogramme de la fonderie . Peut-être un sujet éloigné du signal des cochers, mais daté vers 1844 . Monument élevé en mémoire du maire de l’ époque qui va aménager ce port pour favoriser son commerce. Et aujourd’hui cet endroit de la Corrèze est très chouette à visiter.

Bernard BÈGNE

-Le susdit monument, les deux plaques sont issues de la même fonderie, Bouilliant. Cliquez sur QUAI LESTOURGE

Photographies: Bernard BÈGNE

-Monogramme Bouilliant-



 
Brignac-la-Plaine

C’est en 1921 que Brignac prend l’extension Brignac-la-Plaine.

La Route départementale N°5 sur laquelle se situait cette plaque partait de Martoulet en Haute-Vienne, traversait l’ouest de la Corrèze et rentrait en Dordogne jusqu’à Terrasson. La dénomination de la voie fut burinée à partir du 1er janvier 1887, date de déclassement des routes départementales en Corrèze.

Aujourd’hui rue Principale (D39) cette plaque est fixée en hauteur sur le clocher-mur de l’église St Pierre-ès-Liens. La station fléchée de La Rivière est celle de la Rivière-de-Mansac sur la ligne de Coutras à Tulle mise en service par tronçons entre 1857 et 1871. 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies: Jean-Michel ANDRY – Vincent HENOCQ

-Au pied de l’église, de 1912 à 1932, passait le tramway assurant la ligne La Rivière de Mansac à Juillac-



 
Chamboulive

Une autre plaque d’arrêt de bus sponsorisée par Dunlop. La Société des Autobus du Centre est créée à Limoges en 1919 par Joseph Bernis, spécialisée dans le transport des voyageurs par autocar. Hameau de Chaillac (D940).

Photographie: Jean-Michel ANDRY



 
Salon-la-Tour

Cette plaque de la fonderie d’Auxerre Leroy et Heurtebise fut posée vers 1872. Elle se situait initialement sur le Chemin de Grande Communication N°26 allant de St Chamant à Masseret (1859). Aujourd’hui nous ne sommes pas sur la D26, laquelle passe à quelques dizaine de mètres. Cette dénumérotation est relativement récente car nous trouvons une borne Michelin à la jonction entre cette D26 actuelle et la rue du Château d’Eau (C3) dans laquelle se situe cette plaque. 

-A droite l’ancien CGC26, rue du Château d’Eau, au bout de laquelle nous trouvons la plaque. A gauche le GC20E, actuelle D26-

-L’église St Hilaire, la plaque protégée par le volet gauche : cliquez dessus-

Photographie de la plaque: Fabien MAURY – vue : Christophe BOUSSIGNAC



 
Roche-le-Peyroux

La Route de la Croix d’Anglars n’est autre que l’actuelle Départementale 20. Mais à l’époque à laquelle cette plaque fut mise en place nous étions sur le Chemin de Grande Communication N°20. Ce dernier allait initialement d’Egletons à Bort (1841), de Bort à Masseret (jusqu’en 1846) puis il fut prolongé jusqu’à Champ dans le Cantal. Il devînt en 1879 le chemin de Champs à Lubersac avec embranchement sur la station d’Egletons et sur Champagne (Cantal). A noter que ce n’est qu’en 1865 que ce chemin fut achevé dans la commune.

D’après les archives du Conseil Général et les délibérations du Conseil Général de 1855, le Pont de Rotabourg, sur la Diège, fut construit cette année là (ou dans les années qui suivirent) et fit l’objet d’un péage. En 1864 il était décrit ainsi:

Le pont dont il s’agit est destiné à desservir le Chemin de Grande Communication N°20 de Champ à Lubersac. Il est placé entre Bort et Neuvic. Il est établi sur la Diège qui coule dans une vallée très encaissée. Ce pont est construit en beau granit, il a environ 23 mètres de hauteur, il se compose de trois arches, celle du milieu a une ouverture de 20 mètres; les deux arches latérales, qui ont des dimensions moindres, s’appuient de chaque côté sur le versant de la montagne. Le voyageur lorsqu’il arrive au pont est charmé à la fois par la beauté du site et la hardiesse du monument qu’il a sous les yeux. 

L’établissement du pont de Rotabourg, dont la construction présenté des difficultés sérieuses, qui ont été heureusement surmontées, fait beaucoup d’honneur au service vicinal.

Et effectivement il s’agissait d’un ouvrage d’art communal financé par le département avec contributions communales. 

Pour en revenir à la plaque, fixée sur une borne en granit reconvertie, elle provient sans doute des fonderies Leroy et Heurtebise d’Auxerre. Un contrat portant sur la fourniture de poteaux indicateurs (et de plaques) fut passé avec cette fonderie par le département de Corrèze en 1872, la plaque peut effectivement dater de cette période. Quand à la différence d’orthographe (Peyroux / Peyrout), je ne vois aucune explication sinon le fait qu’une erreur a pu être commise, soit par l’agent voyer, soit par la fonderie.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies: Bruno SARDOS


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