GARD

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Dernières modifications 8 juillet 2023

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Saint Gilles

A Saint-Gilles deux plaques de cocher, face à face, portant les mêmes indications mais bien sûr avec les flèches directionnelles inversées.

En outre, une plaque matérialisant le point le plus haut des inondations survenues en 1840 suite à la montée du cours du Rhône. (cette plaque, comme une dizaine d’autres, ont été apposées par la municipalité).

-Cliquez sur cette plaque-

-Cliquez sur chacune des plaques-

Rue Marcellin Berthelot (D42), là ou débouche l’avenue Marie Curie, une plaque initialement sur le Chemin de Grande Communication N°42. Cette voie de communication est issue du déclassement des Routes Départementales en 1891, la plaquette recouvre l’ancienne classification: Départementale N°12. Ces deux voies allaient de Nîmes à St Gilles. 

-Cliquez sur cette plaque de l’autre côté de la rue-

Photographies: Denis CLAUDEL

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Pont-Saint-Esprit

Sur la Nationale 86, celle allant de Lyon à Beaucaire jusqu’en 1950, anciennement Route Impériale 104, nous voici à Pont-St-Esprit où une plaque de cocher en l’état à cette caractéristique d’avoir l’encadrement torsadé. Il y en a d’autres de ce type dans ce département.

– Cliquez sur cette plaque –

– Merci à Boris Jacopin pour cette découverte –

Route de Barjac, intersection D901 / Ancienne Route de l’Ardèche, voici une borne avec chapeau, celui-ci apportant des informations directionnelles. 

Compte tenu des informations gravées, nous savons que cette borne se trouve à l’intersection de deux Routes Royales, ces deux routes ayant été créées en 1824. Le gravage (et peut-être la borne elle-même) date d’entre 1824 et 1848. 

Au sommet, un couvre-chapeau sur lequel sont gravés et GA et RD( GARD ). En dessous, au-dessus des indications de Routes Royales, ont été fixées les lettres IP (pour Impériales -un I étant tombé). 

-Où l’on voit le point de jonction entre les deux Routes Royales au XIXème siècle-

-Où l’on l’emplacement actuel de cette borne-

-Cliquez sur la borne-

Photographies de Alain GARREAU

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Vers Pont du Gard

Ce n’est pas une plaque de cocher mais n’étant pas répertoriée ailleurs la voix.

Il s’agit d’une plaque de nivellement, elle se situe sous le Pont-du-Gard . Joseph Thys, lors de son voyage en Provence en 1937 relève l’existence de cette plaque :

Extrait du Tome 2 de  Mon Sentier Lumineux par Joseph Thys  publié en 2003 aux éditions Dricot

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Sommières

 Une plaque de cocher parfaitement restaurée sur le Chemin de Grande Communication N°35. L’entourage torsadé est caractéristique d’une fonderie ayant passé contrat dans ce département du Gard. 

 

– Deux cliquez sur photographies demandées ont vu la plaque de cocher dans son environnement, sur l’une ou l’autre plaque –

Les photos ci-dessus prises par André CRABIE, la plaque visible en téléchargement par Boris JACOPIN

Ce ne sont certes pas des plaques de cocher mais voici des plaques de rue de belles factures. Certaines semblent provenir de la fonderie Bouilliant. J’attends confirmation du secteur Patrimoine de la commune. Les photos de plaques ont été prises en 2015 par André CRABIE.

 Dans la série Plaques de rues, en voici une autre dans son environnement :

 Et une série de quatre plaques de rues :

Photographies : André Crabie

Voici une plaque d’assurance Le Phénix, une compagnie créée en 1844. Elle se situe à l’angle des rues Frédéric Gaussorgues et Abbé Fabre.

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Barjac

Deux plaques à Barjac sises sur l’ancienne Nationale 101, tracé initial de 1824 (une rectification de son tracé à partir de Barjac a eu lieu en 1840).

– Merci à Alain GARREAU pour ces photographies de 2015 –

Voici une plaque se situant initialement sur la Route Départementale N°21. En 1891, suite au déclassement des voies départementales, la classification et le numéro inscrits sur cette plaque ont été recouverts. Le Chemin de Grande Communication N° 51 allaité de Barjac (donc ici) à Villefort en Lozère. 

En débouchant de la rue St Michel sur la place du Docteur Roques, sur le Crédit Agricole :

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque : Frédéric BRAULT

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Codognan

 La Station de Vergèze d’où part le Chemin d’Intérêt Commun N°4 est une Station Thermale. La marque Perrier est issue de cette station.

Une belle plaque sise rue des Mas comme indiqué sur la plaque en encart.

– Photographie : Boris JACOPIN –

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Bellegarde

En 1891 la Départementale N°8 de Beaucaire à St Gilles est classifiée Chemin de Grande Communication N°38. La plaquette apposée sur la plaque reprend donc cette classification. Plaque de rue et directionnelle sont du même fournisseur.

-Photographie : Francis HOURNON –

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Vergèze

 Cette plaque était sur le Chemin d’Intérêt Commun N°39, aujourd’hui la D139. Le CIC 39 allaitait de Vergèze à Générac. Chemin de Nîmes (D139) à l’intersection avec la Rue Jean Jaurès.

Photographe : Nicolas JAMOIS

Comme à Codognan une plaque sur le Chemin d’Intérêt Commun N°4 allant de la station de Vergèze aux Marais Inférieurs. En haut de la Rue Neuve (c’est la rue qui va à gare), intersection avec la place du Plan Nourrit.

Photographe : Maxime MORAND

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Calvisson

Voici deux plaques sur le Chemin d’Intérêt Commun N°7 allant comme indiqué sur ces plaques de Fontanès à Uchaud. 

La première sur la Place Mireio :

-Cliquez sur cette plaque-

La deuxième place du Général de Gaulle, rue Baratier :

 

-Cliquez sur cette plaque-

En faisant un demi-tour ne voit-on pas deux panneaux Michelin ? En piteux état certes mais néanmoins présente : 

-Cliquez dessus-

 Un peu plus loin une plaque d’Assurance en zinc :

A part les Michelin, toutes les photos sont de André Crabie

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Saint-Côme-et-Maruéjols

St Côme et Maruéjols fusionnent en 1812. Ainsi Maruéjols devient un hameau comme indiqué sur cette plaque qui se situe Route Porte Vaunage.

Sur le Chemin d’Intérêt Commun N° 3 : initialement, en 1836, cette voie allait de Caveirac à St Étienne (d’Escattes). En 1872, son appellation est « de Nîmes à Clarensac » et cette année la il est transformé en Chemin de Grande Communication. Nous rétrouvons le CIC N°3 en 1898, il va alors, comme indiqué sur la plaque, de Nîmes à Souvignargues par St Côme avec un embranchement sur Montpezat. On peut donc certifier que cette plaque est postérieure à 1872.

-Cliquez sur cette plaque-

Photographie de la plaque : Didier BROUSSE

Nous sommes cette fois sur un embranchement du Chemin d’Intérêt Commun N°3. en effet, en 1892 , le Chemin N°20 allant de St Côme à Montpezat fut incorporé au CIC N°3, lequel s’appela désormais : de Nîmes à Souvignargues par St Côme avec embranchement sur Montpezat.   Aujourd’hui rue du Marchepied (D103) qui aboutit sur La Placette (D1).

-Cliquez sur cette plaque-

Bien que St Côme et Maruéjols étaient fusionnés depuis plusieurs décennies (1812), la plaque indique que nous sommes sur le territoire de l’ancienne commune de St Côme. Cette fois nous sommes sur le tracé principal du Chemin d’Intérêt Commun N°3. La plaque, près du Monument aux Morts, est à l’intersection entre la rue du Jeu de Boules (D1) et la Route de Marvejols (D103).

-Cliquez sur la plaque à la droite du monument-

Photographies des plaques : Didier BROUSSE

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Saint Gervais

Route de Barjac, en allant sur Barjac, cette plaque initialement sur le Chemin de Grande Communication N°43. Ce dernier allaité de Barjac à Avignon en 1892, année de sa création suite au déclassement des routes départementales dans le Gard. La plaquette recouvre l’ancienne classification de la voie : Route Départementale N° 13. 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies : Christian MASSON

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Souvignargues

Route d’Uzès (D22) à l’intersection avec la Grande Rue, quartier du Plan cette plaque initialement sur le Chemin de Grande Communication N°22, qui allait d’Uzès à Sommières. Cette voie de communication fut ainsi classée en 1841. 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies : André Crabie

Entre 1790 et 1794, la commune de Souvignargues absorbe celle voisine de Saint-Étienne-d’Escattes et porte provisoirement le nom de Souvignargues-Escatte. Une seconde plaque se situe sur cette ancienne commune (aujourd’hui hameau), rue de Calvisson (D107).

Sur le Chemin d’Intérêt Commun N°7 allant de Fontanés à Uchaud jusqu’en 1937 (cette année là suite à l’incorporation de deux Chemins Vicinaux cette voie s’appellera CIC N°7 de Fontanés à Bernis par Uchaud), cette plaque en l’état; 

-Cliquez sur cette plaque-

Photographies : Denis CLAUDEL

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Congénies

Le Chemin d’Intérêt Commun N°40 allait effectivement de Calvisson à Sommières par Junas (1864). Ce n’était pas le cas en 1836, le N°40 allant de Junas à Congénies. 

La plaque se situe aujourd’hui avenue de la Fontaine (D249), intersection avec l’Avenue de la Gare (D249 également, il s’agit d’un angle droit sur cette même voie).

 

 

CHEMIN D’INTERET COMMUN N°40

DE CALVISSON À SOMMIÈRES

CONGÉNIÈS
JUNAS À 3K1 —->

STATION DE JUNAS À 4K6 —->

On remarque les deux accents sur Congéniès : c’est une erreur mais pas forcément de la fonderie, on retrouve, à tort, cette ponctuation dans de nombreux documents. Le Pape Adrien IV en 1156 ne se trompe pas; Sancti-Andrée-de-Congéniis (Saint-André-de-Congénies).

La photographies et les indications sont de André CRABIE

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Laval Pradel

A hauteur du hameau du Pontil, nous sommes sur le point de départ du tracé initial du Chemin d’Intérêt Commun N° 19. Si ce dernier allait à son origine de Portes à St Ambroix, en 1890, l’aménagement du carrefour de l ‘Affenadou modifia le tracé de la route qui succéda à ce CIC, il s’agissait, depuis 1930, de la départementale N° 59. Cette voie était très empruntée lors de l’exploitation du charbon cévenol au début de XIXème, la ligne Alès -Nîmes-Beaucaire ayant été créé en 1840.

-Pico va traverser la route pour aller regarder de plus près cette plaque verte sur laquelle vous pouvez cliquer-

Photographies : Théodora BESSE

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Ribaute les Tavernes

Indistinctement selon les écrits Ribaute ou Ribaute-les-Tavernes, ce toponyme correspond aux deux villages distants de deux kilomètres formant cette commune. Nous avons justement une plaque directionnelle sur le village de Ribaute et fléchissant celui des Tavernes. L’autre flèche pointe Anduze qui est le chef-lieu de canton.

La plaque se situe rue des Platanes (D106), pas très loin de la mairie, comme indiqué en première ligne sur le Chemin d’Intérêt Commun N°6 . Il s’agissait bien d’un Chemin d’Intérêt Commun et non pas Collectif , la différence étant les crédits affectés, départementaux dans le premier cas, communaux dans le second, y compris par les communes dans demandant le chemin ne passe pas mais usités par les habitants. 

-Cliquez sur cette plaque d’un bleu nuit du plus bel effet-

Photographie de la plaque : Jean-Michel ANDRY

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